Que pouvais-je faire d’autre que d’attendre ! Attendre son bon vouloir. 
Cette position servile, baignant dans son urine, me répugnait, fuir et pourtant ! Je voulais la remercier, la servir, être à ses pieds. Combien de temps  me suis-je endormi dans l’espoir de la revoir ? Je ne sais pas. Ce dont je suis sur, la nuit était tombée lorsque je me suis réveillé. Le noir avait envahi la pièce. C’est à ce moment que la porte d’entrée s’ouvrit. Bruits de voix. Elle n’était pas seule. la sueur perla le long de mes côtes, refusant de faire le moindre bruit. 
J'entendais des bribes de conversation - Oui merci, j’ai fait ce que j’ai pu pour remplacer mon patron…. Merci. Je serai très fier de prendre se poste…. Merci… Humm ! Un cocktail ce soir, il faut que je me change et…. (rire complice), d’accord dans deux heures. La porte claqua. Qu’est ce que cela voulait dire. Je me débattais. La lumière de l’entrée projetait son ombre sur ma pauvre personne. A travers les orifices de ma cagoule je la regardais. Doucement elle s’approcha de moi s’accroupis en remontant sa jupe étroite. Je m’aperçu alors, qu’elle ne portait pas de culotte. - Alors pauvre chose… On a attendu sagement sa Maîtresse…. Elle se releva en s’éloignant d’un pas. Son regard me perçait. - Il me semble que le bout de mes escarpins on besoin d’un peu d’amour… Rampe et vient te caresser à elles…. 
Oui, j’avais envies, oui je me sentais en son pouvoir. Lourdement, sans grâce j’ai rampé jusqu’à elle, qui avec un pervers plaisir se recula dès que j’approchais de ses chaussures. - Voilà comme j’aime te voir ! J’ai besoin de toi comme cela, il ne restera pour moi que cette image, celle d’une limace puante qui vénère sa Maîtresse. Enfin mon visage encagoulé caressait avec tendresse la pointe des escarpins. Quelle récompense ! Un bonheur parfait après ces heures d’attentes, puis doucement, mais fermement elle appuya de sa semelle sur mon visage pour me repousser. Elle s’éloigna sans me prêter plus d’attention. Elle laissa tomber la veste de son tailleur tout en parlant. - Je suis sur que tu seras d’accord avec moi… J’ai décidé de quitter ton service….. J’en ai ma claque e ton rôle de petit chef au bureau. Sa jupe étroite glissa le long de ses jambes. A sol, elle la piétina avec ses escarpins. Poitrine nue maintenant elle disparue, pour revenir en ajustant délicatement une culotte de satin blanc. - Je prendrais à partir de demain possession de ton appartement… Comment pouvais-je réagir ? Elle me regarda avec un large sourire. Vivre en semble ? Enfin. - Tu ne veux pas faire plaisir à ta Maîtresse…
 Ma Maîtresse semblait deviner mes pensées alors qu’elle termina d’enfiler une longue robe chinoise en lourd satin noir moulant parfaitement son corps. En silence, sous mon regard d’esclave, elle ajusta sa robe. - Oui, naturellement que nous allons enfin vivre ensemble… C’est ce que tu voulais de puis longtemps, n’est-ce pas…. Comme une médiocre chose j’essayais de ramper péniblement jusqu’à elle, mais elle me tourna le dos en passant doucement ses escarpins de cuir. Comme elle était belle, intouchable, cela qui me convenait au fond. L’esclave d’une Déesse. Elle posa sur ses épaules un long trench masculin en satin blanc. - Cet appartement me conviendra parfaitement… Beaux quartiers, beaux magasins, tout ce qu’il faut pour mon évolution sociale… Elle se retourna vers moi. - Pour toi, tu changeras d’étage, direction la chambre de bonne…. Il faudra que tu me prouves tout ton affection pour que je te conserve comme larbin. Tu vois, tu as une place dans mon cœur, celui de me satisfaire pleinement… C’est un rôle difficile à jouer… Ta vie va devenir un enfer, pour mon simple plaisir… Hautaine, elle me regarda. Du bout des doigts elle tenait les clés de mes menottes. - Il va faire le beau, le toutou à sa Maîtresse…. Maladroitement j’essayais de me lever, sans espoir, je m’effondrais sur le sol comme une lourde pierre. Ma Maîtresse fit une moue de dégoût. D’un geste sec elle libéra le cadenas. - Trouves n ‘importe quel moyen, je ne veux plus te trouver au bureau demain… Je te conseil de prendre un congé sabbatique… Sinon je raconte tout. Tu entends TOUT, pauvre limace…Cela sera d’un chic auprès de ton équipe… Elle termina d’ enfiler l’imper large sans le fermée. Les mains dans les poches elle me fixa. - Avant de quitter le studio, tu le rendras impeccable, tu feras mes valises et les emmèneras à l’appartement. Débrouille-toi comme tu veux, raconte n’importe quelle histoire à la concierge… 
Mais demain je prends possession de mon nouveau territoire…. Alors qu’enfin, je me libérais, a genoux près d’elle, je retirais enfin ma cagoule. Mon visage en sueur, mes cheveux plaqués d’humidité. Ma bouche tremblait D’une main tremblante je sortis le bâillon dans un jet de bave. J’ai voulu la remercier, lui baiser les pieds. - Oh ! Maîtresse. Elle me fixa en reculant. - Tu es répugnant… Je compte sur toi, à mon service demain à huit heures. A suivre
Par Naomie - Publié dans : Confessions Témoignages SM
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