En collier traité en chienne

La pièce est froide aux murs inégaux parsemés de
vieilles peintures, de plaques de plâtres arrachés.
Assis la bouche déformé par ce gode aux formes
arrondies et larges je ressens mes jointures de
lèvres s'étirer, une nouvelle souffrance à découvrir.
Ma maitresse postée dans mon dos agrippe la chaîne
d'acier reliée à mon collier et la tire en arrière
violement. Mon cou tendu en arrière  fait tendre mes
tétons enserrés entre deux baguettes fermement
tenues. Votre main ganté de vinyle se pose sur mes
yeux, ma glotte remonte, je semble étouffer enfin
totalement à votre merci.
 Vous placez un bandeau élastique sur mes yeux qui
cisaille le coin des yeux, d'un geste brusque vous
tirez sur ma chaine pour lever et à peine redressé
d'une poussée brutale vous me poussez en avant en me
faisant baisser en m amenant à quatre pattes dans un
premier temps avant de me faire totalement allonger.
 Ma peau ressent le froid du pavé inégal et sale. Je
devine que vous passez devant moi au mouvement de la
chaine et de la traction sur le collier, toujours
maintenu comme un ver je rampe à votre suite. Mes
tétons pincés sont étires écrasés contre le sol, mes
bourses et le sexe subissent le même sort.
 La douleur est vive, luxuriante, ma gorge émet des
sons de douleurs réprimés par le gode et mon âme
s'émerveille d’être ainsi votre objet. Je sais la
souffrance à venir, tous les frissons qui me
parcourent l'a réclame je suis devenu votre bien et je
n'ai de souhait que de vous divertir à votre guise
 SABLE 
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