Pute en location pour sa maitresse

Etre une pute en location. Enfin ma maîtresse a
daigné donner vie à ce besoin. Je n'ai que cette après
midi en tête depuis des semaines. Elle m'a simplement
annoncé un jour alors que ligoté à une croix elle
jouait de sa cravache et de ses pinces sur ma peau de
soumis «  Dans quatre semaines tu seras loué pour
l'après midi alors sois libre »
  Plus les jours passés et plus ce besoin envahissait
mon corps, je me suis surpris à plusieurs reprises à
penser en femme. J'ai porté une attention particulière
à laisser mon corps totalement lisse, j'ai accentué la
musculation de ma croupe, de mes abdos.
  Je passe de longs moments devant ma glace à me
regarder à tenter de découvrir les postures qui
rendront mon statut de pute évident.
 J'ai avec honte et un plaisir immense du à l
humiliation promené dans les boutiques de vêtements
sexy et de lingerie, hésitant au début j'ai finis par
annoncer aux vendeuses que je recherchais à parer mon
corps. Certaines l'ont mal digérée d'autres se sont
montrées d'une très grande curiosité. J'avais décidé
d'éviter autant que possible les sex shop et ventes
par internet.
 Mon choix s'est porté sur  un ensemble en latex,
string, bas et porte jarretelle rouge, je couvrirai ces trésors de
féminité par une robe en stretch très moulante noire.
Je me suis bien sur doté d'un soutien gorge qui me
fait une agréable silhouette.
 Petite pute jusqu'au bout des ongles, je me suis
procuré une perruque brune et je m'entraîne depuis
plusieurs jours à poser des faux ongles à mes doigts.
 Ce matin sur ma messagerie j'avais l ultime ordre de
ma maîtresse, une adresse, un étage, et surtout « Tu
arriveras parer comme la chienne que tu es »
  J'ai quitté mon domicile à l avance, mes affaires
dans un sac, pour me rendre dans cette chambre d'hôtel
que j ai loué à proximité du lieu de rendez vous.
 Enfin me voilà face à l ultime marche, seul dans
cette chambre sordide, vais je franchir le rubicond et
devenir plus qu'un soumis.
 Doucement je reprends une douche, rase totalement mon
corps, le recouvre d'une crème parfumée et douce.
Assis je me fais les ongles des pieds et pose mes
ongles. Nu devant cette petite glace je commence à me
maquiller avant de chausser cette perruque.
 Le contraste est merveilleux, je suis humide, tendu,
enfiévré, sans plus réfléchir je passe les vêtements
lace mes talons et claque sans me retourner la porte
pour descendre l escalier.
 A l accueil le réceptionniste lève à peine les yeux
et me voilà dehors sous le soleil de ce jour
d'automne. Je marche au débit très vite, pour
finalement ralentir et prendre le soin d'adopter la
démarche d'une salope comme maîtresse me l'a enseigné.
Les regards fusent sur moi, sûrement des insultes. Je
profite pleinement de cette humiliation au moment où
je passe la porte cochère de mon lieu de débauche.....