Expérience interdite

Il me repousse au sol, je chute me retrouve sur le flanc; il saisit la laisse et la passe entre mes cheville, il tire me faisant courber en deux ma tête est collée à mes cuisses, cela tire. Il me saisit par les hanches et me pose dans cette position sur le sol.
Mes épaules au sol, à genoux. Le collier me serre, je respire vite. Il passe ses jambes de chaque côté de moi, je sens sont gland se promener dans ma raie, je respire plus lentement, me décontracte je veux que mon cul s ouvre pour qu'il puisse me défoncer jusqu’ aux couilles. Il va me pilonner à la verticale; Tétanisée mes muscles tremblent. Il commence par me forcer de deux doigts qui sont aspirés. Il écarte, irrite mon fion de lope. Je me rends compte que je bave. Je serre le cul pour qu'il force et me détends d un coup, ses doigts s'enfoncent, je les perçois farfouillant « je vais te retourner l anus putain » Son gland épais se pose sur mon anus étoilé, ouvert. Je lui dis mettez une capote, il rit, et m encule d un coup, laissant tomber son poids en moi. Sa queue propulsée ainsi m explose et va s'enfouir au plus profond. « Pétasse, sale pd, tu l as bien au fond, tu vas bouger ton cul » je remue doucement, le serre le libère. Je fais des vas et viens, huuuu il pousse comme s il voulait enfoncer ses couilles, a travers mes cuisses il me tord la queue, pince mes couilles et les écrases entre ses doigts.
J'hurle de douleur tout en continuant à honorer sa bite. Il sort et retombe et répète cela de longue minutes. Il se libère de mon fion pour me mettre sa bite en bouche, « nettoie » pendant ce temps les doigts joints il tente de les enfoncer. Je souffre totalement hébétée par la force la violence de la situation mais dois je avouer la plus totale excitation qui me tient. Il défait les liens, s assied « vient t empaler face à moi » j écarte mes cuisses, le regarde en guidant son gland. Je lèche mes lèvres au moment ou je descends cul serré sur sa bite, je remue doucement je veux sentir son membre m investir, me remplir son gland bute et pousse. Je laisse mes lèvres courir sur son torse, je tête lèche ses tétons.
Il me remonte le visage et me crache dans la bouche, j avale. Il m enfonce ses doigts dans la bouche pendant que sa bite tendue, devient énorme bouillante. Je trouve la situation sublime et dantesque, l 'alliance de la souffrance, de l humiliation est là, présente, essentielle. Je peux jeter un regard à la glace qui est au mur, je me vois comme une image d'Épinal. Les odeurs mêlées de nos deux corps, le bruit de ma peau sur ses cuisses à chaque va et vient. Je tends mon cul au maximum pour que son sexe s 'enfonce totalement, il gémit, m'écarte les fesses à deux mains.
 Je ne suis qu'une proie et vous maîtresse vous m'avez offerte à ce prédateur qui n'a de cesse de de porter au maximum son ascendant sur moi, me prouver que je ne suis qu'un objet laisser à sa disposition par la magnifique femme que vous êtes.