Coup de butoir

Silence, je l entends aller se laver les mains en
sifflotant, j'enfouis la tête dans le matelas pour
essuyer mes larmes, mes fesses, mes cuisses le bas du
dos sont en feu, une braise incandescente qui ne cesse
de vivre, d'onduler sous ma peau. Je perçois ma peau
comme arrachée, boursouflée. Je respire lentement pour
dompter la douleur pour la faire mienne, elle se
propage par vague, je frissonne. Cette douleur devient
peu à peu ma complice, elle est là ou je voulais, je
la laisse maintenant me caresser l'âme, j attends
qu'elle augmente, qu'elle me serre le creux du ventre
comme une bouffée de vertige. Je dois cette découverte
à vous maîtresse merci.

« Je t ai éclaté le fion, il est marbré de rouge et
de violet me lance M », je lui réponds que je le
remercie de savoir me porter toute l'attention voulue.
Il me tire par la laisse, s assied sur le lit et pose
ma gueule sur sa bite. Affamée, totalement détachée de
ma condition d'être humain je la bouffe, ma tête entre
ses cuisses il s empale dans ma gorge. Je me laisse
ouvrir ainsi, l élasticité de ma peau est mise à
contribution, son gland épais écartèle mes joues,
frotte mon palais j aspire, salive comme une chienne
pour me l introduire. Il me gifle violemment tout en
me limant.
           Je sais, j attends même le moment ou il va
prendre possession de mon cul, ce dernier est depuis
longtemps humide presque trempe, tout en gobant son
vit je cambre mes fesses dans une invite
silencieuse....