Léna

S comme Soubrette M comme Miserable. C'est dans mes premières masturbations du no man's land sexuel familial que je pris conscience de mon amour pour l'interdit. Dans le milieu SM, la soubrette est vêtue de manière provocante et sexy, le tablier blanc en dentelles est de mise, les bas noirs, blancs ou couleur chair aussi, et il va de soi pour moi, une paire de cuissarde ou d’escarpins incontournables ! Léna c’est le prénom que je lui ai choisi devait arriver avec une lettre qu’elle a oublié, la sotte. Déshabille-toi ! Et fais vite ! sifflai-je entre mes dents d'un ton qui n'admettait aucune discussion. Le temps de quérir ma cravache de choisir les vêtements qu’elle devait porter, elle m’embrassa les pieds comme une bonne chienne. Je lui ordonnai un lavement. Elle avait ramené son appareil. Elle savait que je voulais la pénétrer et que je voulais son fondement propre sans aucune souillure qui pourrait déclencher ma colère. Mais l’objet du lavement était ridiculement petit. Prise d'une fureur subite intérieure, d’un rire cynique, je lui introduisis Pour la punir, elle dut nettoyer mon entrée. Mais comme ce jour-là, je me sentais de bonne humeur, je ne lui ai pas mis de pince, ni même fessé. Je dois dire qu’il faisait lourd… « Si vous saviez comme j’adore les soubrettes. Lorsque j’habitais à Paris, j’en avais une qui venait une demi journée par semaine me faire mes corvées mais je vous raconterai cela un jour prochain...Pour en revenir à Léna, elle sait que je serai plus sévère avec elle si elle commet une faute...