Nouvel an slave

Objet sans envergure, sonné de coups et douleurs je ne pouvais m’empêcher de rester dans la posture soumise, offrant mon corps sans reculer.

Ceci s’est calmé et sur un ordre sec je suis allé servir le dessert. En vitesse j’en ai profité pour remettre en état mon maquillage. Les douleurs étaient sourdes et vives, lancinantes pour ne jamais s’évanouir.

Toute la fin du repas s’est passé dans une ambiance conviviale, la discussion allait bon train, agenouillé j’attendais mes ordres et les accomplissais avec joie.

J’ai accompagné un homme sur la terrasse, agenouillé devant lui et visible de la table il a profité de ma bouche pour uriner, ce liquide tiède, odorant, musqué s’est écoulé en moi comme une rare liqueur. Et c’est avec bonheur que j’ai servi de chiotte à tous les convives qui se levaient au fur et à mesure.

Maîtresse s’est livrée à ce petit jeu ondin en urinant sur mon torse. Finalement sur son ordre je me suis dévêtue pour être lavé au tuyau dans le jardin. Claquant des dents le corps pétrifié par le froid je suis resté immobile de longues minutes derrière la vitre à les regarder déguster leurs cafés et digestifs.

Une vieille serviette m’a été gentiment donnée et sec j’ai pu regagner ma place aux pieds de Maîtresse dans le salon.