Qu’il est bon de se sentir soi même sans honte, de pouvoir afficher sans retenue sa nature. Je voyais le sourire de Maîtresse et
je vous assure que je vivais à cet instant un vrai moment de vie.
Juste avant le repas j’ai accompagné au bout de ma laisse une convive aux toilettes, avec douceur j’ai baissé son string et
lorsqu’elle s’est assise sur la cuvette j’ai placé mes bras le long de ses cuisses afin qu’aucune gouttes ne viennent salir ses bas. Je l’ai ensuite essuyé avant selon ses ordres d’avaler et
mâcher le papier. Elle a vérifié que ma bouche était vide avant de m’autoriser à tirer la chasse.
Ravie elle a flatté Maîtresse de la stricte obéissance de son esclave et s’est ensuite évertuée à raconter ce petit jeu humiliant
et si stigmatisant pour le minable être que je revendique.
Entre chaque plats et service de vin, je me tenais à genoux aux pieds de ma maîtresse, je suis il faut le dire peu resté dans
cette position, les ordres ne cessaient d’affluer, peu à peu de façon naturelle les convives ont ressenti le besoin de brusquer mon corps. Mes tétons annelés sont devenus rapidement un exercice
joyeux entre leurs mains nerveuses et violentes. Sans mot dire l’un des hommes m’a demandé de me lever et d’aller me placer contre une chaise, les mains posées sur le rebord face à la table. J’ai
reconnu le bruit caractéristique d’une ceinture qui fouettait l’air et c’est sous le regard vicieux et excités de la tablée que 10 coups puissants et cinglants ont marqué le bas du dos. Mes cris
de souffrance étaient en fait des halètements accentués par la cambrure que j’augmentais à chaque cinglée.
Par Naomie
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Publié dans : JOURNAL SEXUEL BDSM
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