A quatre pattes je marche dans l’ombre de ma maîtresse jusqu’à la baignoire emplie de mousses aux odeurs enivrantes. Elle y entre
doucement avec la délicatesse d’une chatte et je regarde avec ferveur ce corps vénéré disparaître sous les clapots de la mousse. Obéissant je masse sa nuque ses épaules elle me parle de la soirée
à venir, de l’espoir qu’elle porte en moi, elle veut être fière de sa petite pute soumise et ses paroles me bercent comme une comptine. Je lave son dos, puis caresse avec délicatesse son buste.
Les yeux mi-clos elle me certifie que seule rares soumises ont eu la chance de la laver ainsi.
Nul désir masculin ne vint me tirailler je n’avais qu’une envie rendre encore plus beau ce corps céleste. De la tête aux orteils
j’ai durant plus d’une heure apporter tout mon amour d’esclave à ma maîtresse.
De retour dans sa chambre j’ai vêtue ma maîtresse de ses vêtements, regardant avec orgueil le galbe de ses cuisses, la fermeté de
ses fesses et l’arrogance de ses seins. Maîtresse m’a demandé à plusieurs reprises de la faire belle car elle voulait s’offrir à des mâles et des femmes. J’ai porté toute mon attention à ce
qu’elle soit lumineuse afin que le plaisir la submerge comme une marée incessante.
Par Naomie
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Publié dans : JOURNAL SEXUEL BDSM
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