Nouvel an slave : passage à l'an 2008 en compagnie de Lady

J'ai exigé de mon esclave qu'il vous raconte le privilège et l'honneur qu'il a  de me servir...en toutes circonstances!!!

J’ai quitté l’an deux mil sept dans un bouleversant artifice de douleurs, d’humiliations et de stupres. J’ai offert mon âme à l’année nouvelle dans des plaisirs masochistes que je réprime de tout mon être. Mon unique mission et d’honorer et faire naître la jouissance chez ma maîtresse Naomie et non de ressentir du plaisir et pourtant mon corps frissonne encore des tourments douloureux que j’ai souhaité et accepté tout au long de cette nuit festive.

Je suis Sable, esclave de DAME NAOMIE, j’ai pu grâce à cette femme lumineuse découvrir et ressentir le bonheur d’être soumis, une soumission totale, mentale et physique. Un abandon de soi pour devenir un sujet obéissant.

Maîtresse NAOMIE m’a ordonné d’être à son service pour la nuit du nouvel an. Elle voulait un être secondaire, totalement et volontairement à son service pour cette nuit particulière.

Je me suis présenté à son domicile le 31 janvier en fin de matinée au rendez vous qu’elle avait fixé. Je m’étais bien sur préparé pour être le plus présentable au moment ou je baisserai les yeux devant elle. Totalement lisse, l’anus godé, mon sexe était totalement écrasé, étalé presque invisible entre mes cuisses.

Mes salutations déclarées dans cette posture infamante de prosternation qu’elle exige de me voir prendre en tout lieu je l’ai suivi à travers rues de cette ville de la DROME.

Je portais à la main la valise contenant mes vêtements et objets de bonne salope soumise et c’est avec trac et étonnement que j’ai pénétré à sa suite dans un local aux dalles blanches à l’atmosphère pesante et froide d’une boutique de piercing.

Nous étions attendus et c’est sous ses ordres secs que j’ai du me dévêtir totalement avant de m’installer sur un fauteuil à l’apparence médicale.

Dame NAOMIE a simplement énoncée à la maîtresse d’œuvre « Percez le comme convenue je repasse le prendre dans une heure »

Totalement exhibé dans cette lisse nudité j’ai vu et ressenti le regard de cette étrangère qui parcourait mon corps comme une toile face à un peintre.

Jouant avec dextérité de ses outils elle a orné sans précaution mes tétons de deux anneaux de larges diamètres, j’ai tressailli au moment ou l’acier me transperçait, sueurs froides et douleurs vives. Pour s’assurer du résultat elle s’est ensuite évertuée à étirer mes seins en se servant de mes anneaux et je suis certain que son brillant regard était signe d’excitation.

D’un ordre sec elle m’a ordonné de tirer ma langue afin de la bloquer dans un appareil d’aluminium. Ainsi offerte cette organe s’est vu transpercée d’une aiguille et décorée d’une perle en acier noir. « Tu verras cela rend fou les femmes et les hommes «  m’a-t-elle annoncé dans un drôle de rictus. J’imagine en tout cas car à ce moment mes yeux étaient baignés de larmes. Cette souffrance était nouvelle et je l avoues d’une froide beauté.

Quelques minutes après Maîtresse est arrivée, prenant soin à son tour de vérifier le travail en imprimant une rotation aux anneaux. Mon cœur s’est emballé devant le sourire de ma DAME.

Nous avons quitté les lieux, sur le parking je suis monté dans le coffre de sa voiture pour effectuer le trajet ponctué de plusieurs arrêts plus ou moins longs.