Promenade

Deuxième rencontre avec Maitresse Naomie (février)
 
Comme vous me l'avez ordonné, Maitresse, vous trouverez dans ces quelques lignes le récit de notre deuxième rencontre.
 
Je sais le privilège que représente le fait pour un soumis novice d'être reçu par vous, je vous remercie et vous suis très reconnaissant.
 
L'un des événements marquants a été la pause du collier, me voila en appartenance, c'est un beau collier de chien en cuir avec une laisse en métal et une poignée en cuir pour ne pas blesser la main de Maitresse qui la tient d'une main ferme.
 
Pour inaugurer, cette marque d'appartenance et de soumission, Maitresse, m'a sorti dans la nature, à chaque écart ou faux pas je sentais la pression s'exercer sur le collier et sur mon cou, Maitresse m'a même permis de satisfaire un petit besoin naturel, quoi de plus énervant que de sortir son chien 20 minutes et qu'il ne fasse rien.
 
De retour chez Maitresse, elle a retiré les pinces que j'avais aux seins et les a trituré et roulé entre ses doigts de longues minutes, ensuit elle m'a emballé nu dans un fil de cellophane, laissant libre les pieds et la tête, le reste du corps étant parfaitement immobilisé, puis elle m'a fait mettre à plat ventre, sensation étrange et douce de se trouver à la merci de sa Maitresse, incapable du moindre mouvement, j'ai senti qu'elle découpait le film à hauteur de l'anus, et, il s'est écoulé 2 ou 3 minutes.
 
Sans qu'elle ne me dise rien, j'ai ressenti une vive brulure dans ma raie, de la cire chaude,  ainsi goute à goute elle m'a rempli tout le sillon fessier, l'accumulation de cire chaude au même endroit empêchait celle-ci de refroidir complètement, la sensation de brulure était intense, pour finir le tableau, Maitresse m'a planté une bougie allumée dans les fesses, elle a trouvé sa réalisation très belle, elle a beaucoup ri, moi, je ne voyais rien, mais j'étais fier de satisfaire Maitresse.
 
Débarrassé de la cire, il y en avait au moins une bougie entière, Maitresse m'a fait mettre à 4 pattes, et elle m'a enculé avec un glaçon qu'elle avait moulé dans un préservatif, d'agréable au début, la sensation c'est vite transformée en douleur vive, et ça aussi, a réjoui Maitresse car je gémissais à chaque introduction, après de longues minutes de ce douloureux jeu, Maitresse mesurant ma détresse m'a massé l'anus avec une crème apaisante. Formidable revirement que cette main qui inflige souffrances et l'instant d'après avec beaucoup de douceur amène au plaisir, merci Maitresse.
 
Pascal