Sale petite chienne (fin)

Appuyé à un mur, les bras en
croix la croupe offerte j'ai subi des fessées, des
coups de buis sur l'ensemble du corps, ils ont
accroche mes couilles à une laisse et tout au long de
leurs envies ils m'ont promené ainsi. Crachats sur
moi, crachats à lécher au sol, j'allais  d'une queue à
autre, d'un cul à un autre. Les fesses rouges, les
cuisses marquées j'ai à genoux pompé longuement leurs
attributs pendant qu'ils écrasaient de leur pied mon
sexe et mes bourses. J'ai vraiment pleuré de douleurs
mais jamais je n'ai eu à l'idée de renoncer car j'ai
ressenti tout au long de l'après midi la certitude
sereine que je me trouvais à ma place. Je n'ai pas
honte de dire que plus les humiliations et souffrances
montaient et plus mon plaisir semblait se nourrir de
tout cela.
Sodomisé à tour de rôle à quatre pattes, un des mâles
m'étirait les tétons à l'aide de deux pinces à bout
plat que l'on trouve dans les trousses à outil, il
rythmait ma fellation avec cet instrument. Je vous
prie de m'excuser si le récit est décousu mais les
images, les sensations se superposent.
Ils m'ont versé de la cire sur les fesses, sur ma
langue, mon sexe. Quelques mégots ont été écrasés sur
la plante de mes pieds et une bougie éteinte dans mon
anus. J ai hurlé à plusieurs reprises et j'ai vécu des
jouissances phénoménales,
Ils ont tenté et réussi partiellement à me sodomiser à
deux, hélas ils n ont pu enfoncer que leurs glands que
de quelques centimètres ce fut tout de même très
douloureux et sublimement pervers.
Ma gueule a été forcée par leurs poings, jeté dans la
garrigue j'ai du marcher telle une chienne empruntant
les chemins couverts de ronces et cailloux.
Vautré au milieu d'eux j'ai été recouvert de foutre et
d'urine, j'ai bu goulûment leur pisse leurs bite
enfoncées dans ma gorge.
J ai honte de vous avouer que j'ai du sur leurs ordres
la tête maintenu par leurs mains lécher leurs anus
après qu'ils aient  vidé leurs intestins. Vulgaire
kleenex,
Saucissonné avec des cordes ils m'ont traîné dans
toute la maison, dans la terre.
Voilà maîtresse ce que j'ai vécu, voilà ce que je
suis, je ne saurai jamais vous remercier de m’avoir
fait découvrir ma vraie nature. Tout au long de cet
après midi la souffrance et l humiliation ont
réellement crée, alimenté un plaisir indécent mais si
puissant,
sable