Soirée privée

Finalement étant donné ma carrure il est décidé que
des seins 90c seront les plus réalistes. Je suis
étonnée de voir alors l'apprentie sorcière préparer
une mixture qu'elle m'explique être de la colle pour
la peau, largement égale à la SUPER U dit elle en
souriant;
je tremble de désir de plaisir au moment ou elle pose
mes faux seins, puis avec une infinie délicatesse à
l'aide de différentes poudres teintées elle assure la
parfaite liaison entre ma peau et ma nouvelle
poitrine.
Maîtresse me regarde les yeux brillants, je la
remercie du regard et doucement elle passe ses doigts
sur mon visage en me disant que je le mérite,
Sur son ordre je me lève lentement, surprise du poids
nouveau qui vient de naître. J'ai peur qu'ils tombent
et surtout n'ose pas me regarder dans la glace murale.

La jeune femme me dit que je suis superbe et que bien
des femmes n'ont pas mes courbes, finalement j'ose
jeter un regard, le choc, je vois naître la personne
que j'espérais depuis si longtemps, depuis que je veux
offrir à maîtresse son esclave absolu.
Je remue, les seins ont une attitude normale, ils
bougent comme une vrai poitrine, les aréoles sont
larges et sombres et leurs pointes tendues.  Ceux sont
des larmes qui viennent à mes yeux alors que dame
Naomie me dit doucement qu'elle n'aura que plus de
plaisir à me faire souffrir.
Je ne cesse de me mirer dans la glace, désormais
l’ensemble peut réellement passé pour une femme. Je
trouve ma croupe, mes jambes bien plus belles depuis
qu’elles supportent cette poitrine, la jeune femme me
prépare tout un stock de colle et m’offre une potion
pour aider au décollage.
Maîtresse me sommes de la rejoindre dans sa chambre,
j’y découvre plusieurs tenues sur le lit, toute
excitée je commence les essayages, toutes sont
provocantes, charnelles, finalement maîtresse décide
que je porterai ce soir, une robe dos nu descendant en
V aux creux des reins. Mi cuisses cela laissera à la
vue les lisières de mes bas tenues par un porte
jarretelle. La robe en acrylique moulante moule ma
poitrine avec orgueil, et sous le regard de celle qui
me domine l’âme je passe doucement en les lissant mes
bas coutures, je l’ai fixe avec délicatesse aux
agrafes du porte jarretelle. Aucun dessous m’annonce
dame NAOMIE, en la regardant je chausse mes escarpins
et viens m’agenouiller à ses pieds. Prosternée devant
elle, elle tend un pied que je lape, avale, elle me
force la bouche dans un vibrant aller et retour.
Elle exige que je libère mes cheveux qui tombent sur
mes épaules et doucement elle passe à mon cou un
collier de cuir, prenant soin de placer les multiples
et minuscules aiguilles sur ma peau. Deux anneaux
pendent sur la face extérieure.

Assise à côté de dame Naomie il m’importe peu de
l’endroit où elle me mène. Je la suit dans cette
demeure ancienne aux couloirs sombres et accepte avec
une joie immense d’être enfermée dans une cellule
noire. Je ne sais combien de temps je suis resté
immobile à attendre mais finalement maîtresse m’a
ouvert la porte et tout en passant une laisse à mon
collier elle a exigé de moi que je réalise tout ce
qu’elle m’avait enseigné.
Passé la dernière porte, nous entrons dans une immense
salle voûtée, les lumières tournées vers nous ne me
permettent que de distinguer des ombres assises
derrière des tables.