Face à votre silence maîtresse, le besoin de vivre ma soumission décuple. Loin de s’endormir mes sensations serviles, mes envies féminines transpirent par tous les pores de mon esprit. Vous me laissez seul face à l'être que vous mis à jour. Il est hors de propos de me plaindre alors que je vis ma condition d'esclave avec une féroce certitude. Vous ne pouvez imaginer la salope servile que je suis en quasi permanence. Mes attributs sont la plupart du temps castrés par diverses ligatures, mon sexe est godé des heures entières. Il m'arrive de porter assez régulièrement ces aiguilles qui traversent mes seins mon nombril. Douleurs diverses sont devenues mon addiction. J'aime le goût toujours différent de la souffrance et je ne cesse de l'alimenter par des essais fiévreux.

Hélas être seul brime mes tentations. Ha si vous étiez près de moi je serai le laboratoire de toutes vos envies, vos perversions, maîtresse.

Je favorise alors l'humiliation. Accélérateur de soumission. Si cérébral, un baume sur mes envies serviles. M'exhiber, être insulté, ouvrir grande les portes de la dépravation pour m'y baigner sachant qu’insatiable je deviens.

Nous avons raison maîtresse, l'esprit offre une magnificence de la soumission. Grâce à dieu je vis avec appétit cette aliénation physique et mentale.

 

--- Vendredi 30 mai j'ai accepté une relation avec un homme bien plus jeune que moi, 22 ans. Vous savez que jusqu'à présent je préférais les hommes âgés susceptibles de me dominer et j'y trouvais un facteur supplémentaire d'humiliation. Contacté par internet, il m'a expliqué être bi et vivre en couple. Il avait simplement envie de s'éclater avec une lope servile. J'ai accepté d'assumer totalement ce rôle. Je m'y accomplis totalement.

Il avait des envies très précises, je devais me vêtir mon corps uniquement d'étoffe féminine et de lingerie idoine. Sacré gageure de me déplacer ainsi. J'ai du calculé un petit moment pour trouver la solution. Il voulait que je porte une mini jupe noire, des bas voiles (même avec les poils des jambes) une guêpière. Je devais absolument être nu sous la jupe et que cette dernière ne cache pas les jarretelles. Eh bien à lope vaillante rien d'impossible, je suis arrivée en avance et à nouveau dans un chemin que j'espérais peu fréquenter je me suis changé. J'ai ensuite rejoint le lieu du rendez vous, le cœur battant les cuisses dévoilées. Pour la première fois je me trouvais en voiture, stationné au milieu du trafic. Étonné moi même de ma volonté, vitre baissée j'ai attendu un bon quart d'heure. Assez rapidement j'ai ouvert totalement le léger gilet que j'avais passé pour couvrir le haut de la guêpière, j'ai même pris un vrai plaisir à fermer les yeux pendant quelques minutes pour juste écouter les voitures qui passaient à ma hauteur.

Un coup de klaxon m'a arraché à cette rêverie, il était stationné à côté de moi. Souriant beau garçon de prime abord. Il a démarré j'ai suivie et tout en roulant j'ai quitté définitivement le gilet pour être totalement femelle au volant. J'aime la sensation du voile des bas tendus par les jarretelles. Je sais que la pilosité est affreuse mais j espère pouvoir bientôt offrir un galbe lisse à votre regard.

Après un parcours dans la garrigue il s'est arrêté devant une bastide abandonnée, toit absent, mur en partie au sol mais jolie coin calme pour nos activités à venir. Je suis sortie de la voiture doucement vivant pleinement cette sensation d’être femme. Je me suis approché de lui qui me matait en souriant. Je dois dire que mes cuisses lisses étaient joliment mises en valeurs par les bas et le haut des cuissardes. J'avais pris soin de gonfler ma poitrine et avec un léger rouge à lèvres et une coiffure en mèches je n’étais pas laide, en tout cas il a apprécié à la manière dont il a posé sa main sur ma croupe au moment ou nos langues se mélangeaient pour la première fois.

J'avais mal à la queue qui voulait se tendre malgré les attaches élastiques. Il m'a demandé de passer devant et nous sommes entrés dans la ruine. Entre les herbes sauvages et les détritus il a jeté au sol une couverture. Je me sentais si salope, si chienne à ce moment là, je n'aurais pas échangé ma place pour rien au monde.

J'ai quitté sur son ordre ma mini jupe, il m'a empoigné les fesses en enfonçant plusieurs doigts à la suite, trempe j'étais sous ses attouchements. Plusieurs claques sur le cul ont terminé de me rendre servile et gourmande. Il m'a étonné en m'ordonnant de me mettre à quatre pattes et sans la moindre hésitation il m'a enculé. J'ai crié sous le choc de sa queue nerveuse qui me fouillait avec vitesse. Ses deux jambes de part en part il s'est laissé aspirer par mon sexe jusqu’aux couilles. Planté ainsi il m'a engueulé, m'ordonnant de remuer du fion comme une salope. J'ai obéis en massant sa bite immobile entre mes fesses. Son poids posé sur mes reins il a recommencé à me claquer les cuisses, le cul. Sa main a collé ma nuque au sol, la tête dans la terre il me défonçait comme un cavalier entraîne sa monture.

Il s'est retiré en un instant, me faisant lever, me demandant d'écarter mes fesses pour lui montrer mon anus de pute dilaté. Je vivais tout cela avec une vraie intensité servile. Sur la couverture je l'ai dévêtu entièrement, embrassant sa peau, mordillant ses tétons. La queue couverte de latex s'est retrouvée entre mes lèvres naturellement, j'ai bouffé sa bite ses couilles avec une ferveur folle au fur et à mesure de ses insultes.

J'aime cette ambiance ou je ne suis au regard de l'autre que le lien menant à son plaisir, ne plus être une être humain juste une chose qui sert aux plaisirs.

Par Naomie - Publié dans : Travestissement - Shemale
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