Enfin il commence à réagir en mâle, il m'ordonne d'avaler ses orteils, je me mets à quatre pattes et les aspire doucement, les tète. Il rigole en m'enfonçant le pied dans la gueule. Puis j'ai du agir de même avec ses mollets, ses dessous de bras. A chacune de ses insultes je deviens plus docile, si femelle. Il me pousse au sol et vient s'asseoir, son cul sur ma bouche. Ma langue lèche le trou recouvert de poils, il attrape ma main et me fais le branler. Vulgaire objet ou simple latrines je deviens folle au contact de ce mâle.

Je quitte ma mini jupe, le string, il me refais coucher sur le sol gras et vient enfoncer sa bite dans ma bouche, je serre les lèvres, aspire le gland entre mes joues en jouant de ma langue. Pendant ce temps il m'enfonce plusieurs doigts dans le cul violemment et rapidement.

Que dire si ce n'est que ma chatte est trempe et ouverte. Il me gave la bouche de ses couilles en se branlant sur mon visage. Ses genoux posés dans le creux de mes épaules me font mal mais pour rien au monde je ne laisserai ma place.

Sans m'en avertir il me retourne à plat sur le ventre, ses deux mains m'écartent les fesses et il m'encule d'un coup à fond en se couchant sur moi. Collée au sol je ne peux pas bouger, je remue juste les fesses pour le sentir mieux m'ouvrir, lui m'appuie la tête sur le sol, écrasant mes joues sur le pavé. Il m'éclate en se laissant tomber de tout son poids et mon mignon petit cul l'aspire. Cela dure depuis un moment, lorsqu'il cesse se retire et me dis de me lever. Je suis recouverte de traces sombres, il m'amène vers une voiture et me fait poser le buste dessus. Me bloquant la nuque sur le capot il me frappe les fesses a coups de poings et de gifles. C'est si violent que la douleur est incessante et immédiate. Il me frotte la gueule sur le capot, mes lèvres s'écrasent et s'agrippent à la tôle. Les coups tombent désormais sur mes cuisses, son genoux vient m'écraser la bite, je crie tout en continuant à offrir du mieux possible mon corps. Cet excès de violence le rend comme fou, « tu aimes cela pétasse, sale travelo, « il agrippe mes bourses et s'amuse à les tordre dans un sens puis un autre. Maîtresse c'est vrai que là la douleur est devenue insupportable, j'ai tenté de me dégager mais je n'ai fais que l'exciter encore plus.

J'ai eu peur à ce moment là qu'il lui soit impossible de retrouver le calme. Mon corps est en charpie, des signaux de douleurs montent de toute part. C'est une raclée que je reçois. J'ai si mal que je mets un moment à me rendre compte que je bande, oui maîtresse ma queue s'est tendue. Des frissons me courent sur tout le corps, ils se mêlent aux douleurs et je m'aperçois que j'aime vraiment cela.

 

Abder retourne s'asseoir, je le regarde en m'approchant de lui, le corps en sueur le regard brillant je m'agenouille et en le regardant lape sa belle bite des couilles au gland. Je l'enroule sous ma langue en le branlant doucement. Je l'avale au maximum, cette queue entre mes lèvres est un doux remède à mes contusions qui cinglent mon corps. Il me caresse la nuque en se faisant pomper. M'assure que je suis une véritable lope soumise et qu'il adore me baiser, me frapper. Plus il me traite en saloperie et plus ma fellation se fait douce et profonde.

Il me fait relever et me fait m'empaler face à lui, il veut que je baise sa bite comme une femme. Mon cul remue doucement, je fais des vas et viens d'avant en arrière, le serre, tourne sur son vit. Je lui mange la bouche en m'éclatant sur son sexe. Il me tient par les fesses qu'il écarte et commence également à me limer.

Je vois à son regard son rythme qu'il va bientôt jouir et au moment où il se cambre je me retire et le branle. Je reçois son foutre sur le visage, dégoulinant de sperme je ne peux m'empêcher de lui dire que c'est mon mâle.

Après m'être essuyée, on a discuté un moment. Il m'a informé croyant me le faire découvrir que ma femme se faisait baiser par tout le monde. Que cela lui plairait de la troncher comme cela il pourrait faire la différence. Tout était redevenu calme.

Alors que je prenais ma douche chez moi, je ressentais les douleurs toujours danser en moi, des bleus des traces sombres avaient pris possession de ma peau et c'est en appuyant dessus que mes couilles se vidaient sur mes doigts.

Voilà maîtresse un récit tout vrai, tout frais j'espère qu'il a su vous apporter une légère satisfaction.

Justinéa

 

Voilà maîtresse je ne sais si vous trouverez adéquat de faire paraître cette histoire sur mon blog mais en tout cas j'aime ressentir toutes les choses que vous avez su faire éclore en moi

Par Naomie - Publié dans : JOURNAL SEXUEL BDSM
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