L'escapade d'un esclave sexuel en réponse à une annonce

Il s'était amusé à répondre à une annonce sur vivastreet. "Mecs dominateurs cherchent lope". Il avait  donné sans trop réfléchir  son numéro de tel et avait continué à mener tranquillement sa petite vie. Le téléphone avait ponctué d'un point d'interrogation cette banalité. "C’est toi qui a répondu à notre annonce" "pointe toi demain 19h00 devant le ciné sex Atlas à Pigalle avec une petite pancarte"je kiffe Noémie""

Je ne sais pourquoi j'acceptais ce voyage à la capitale si ce n'est que j'avais envie d'un changement de décors voire un changement de corps.

Je pris le tgv mais je dois m'attarder sur des détails de ma tenue vestimentaire. Sous mon pantalon je portais un collant ouvert et j'adorais sentir le contact du nylon, lorsque je frottais mes cuisses l'une contre l'autre. Dans le wagon je repérais tout de suite une femme pulpeuse très potelée qui portait une minijupe extra-moulante. Je ressentis tout de suite un trouble indistinct mais dont je pris le parti d'accepter l'augure. Je m'assis à coté d'elle:elle ne fis aucun effort pour libérer de la place et ma jambe droite se retrouva collée contre la sienne. Mon pantalon dans ce frôlement laissa un court moment apparaître mon collant. Elle eut alors un sourire amusée et se penchant discrètement vers moi me dit dans une complicité troublante "tu es aussi une petite salope super" Sa main se posa négligemment sur ma queue qu'elle serra très fort en pouffant "petit clito que voilà"

"Je vais me lever pour aller aux toilettes. Tu attends deux minutes et tu m'y rejoins compris petite salope"

-oui Madame

Je la rejoignis donc dans les délais ordonnés. La porte des toilettes s'ouvrit et je rentrais dans l'étroite cabine. Ma tentatrice était en train d’uriner. Elle se leva quand elle eut fini et se baissant me dit nettoie ma chatte chienne. J'obéis sans protestation, trop heureux de cette aubaine.

-Tu vas rester là. Quand je reviens je frappe trois coups...tu m'ouvres ok salope

-oui madame

Une demi-heure s'écoula qui me parut une éternité quand tout à coup le signal magique se fit entendre. Elle n'était pas seule; un mec costaud corpulent l'accompagnait.

- donne moi le fric lui dit-elle t'occupe pas de cette lope.

-je ne savais pas...commença-t'il avant que

-ferme ta gueule et sort ta queue. Elle est propre au moins. De toute façon il va la nettoyer

Suce le m'ordonna t'elle

- je pris le gros membre dans ma bouche et le suçais avec envie

-On dirait que tu aimes la bite salope. Laisse moi la maintenant

- elle montra son cul au mec qui s'enfonça tout de suite en elle. Notre spectacle avait émoustillé ma tentatrice car la queue glissa dans son réceptacle dans un bruit mouillé. Il alla et vint peu de fois quand son visage se tordit grotesquement et qu'il déchargea entre les reins de ma Dame lui arrachant quelques gémissements.

Elle n'était pas femme à s'attendrir car elle lui lâcha très vite "casse-toi maintenant il faut que je fasse ma toilette

Il hasarda "mais lui"

-lui c'est pas pareil c'est ma salope il n'a pas une grosse bite mais un petit clito. Il va me faire ma toilette. Gicle

A peine fut-il parti qu'elle se pencha en m'ordonnant "léché bien tout le jus salope"

Je la nettoyais soigneusement, la faisant gémir de plus belle.

-mmm tu es une bonne salope

Le haut parleur annonça soudain "gare de Lyon, terminus tout le monde descend"

Elle se rhabilla rapidement en pouffant tandis que j'essayais d'effacer les preuves de mes infamies sur mon visage.

Elle sortit la première. Je la suivit un court instant après déclenchant des sourires amusés sur le visage de certains hommes.

Sur le quai ma tentatrice bécotait avec furie un militaire galonné en lui donnât du"j'ai fait un excellent voyage Charles, un peu long tout de même; ils pourraient prévoir des animations quand même"

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Dehors sur le boulevard la pluie enveloppait tout d'une lumière sale. Je pris le métro jusqu'à Barbès puis marchait jusqu'au ciné atlas. Je sortis mon écriteau qui me fit me sentir un peu ridicule devant la foule cosmopolite qui me dévisageait. Trois hommes m'abordèrent

- c'est bien putain suis nous

Je leur emboîtais le pas et les accompagnais jusqu'à un sex shop.

-vous désirez, messieurs.

- nous voulons vêtir cette salope

-ok dites lui de se déshabiller

- tu as entendu qu'est ce que tu attends?

-mais il y a du monde... Ferme-la et à poil

Le tenancier me mata et dit

-cette salope est bien foutue. Nous allons en faire une belle pute. Il me fit mettre des bas rouges sous une robe moulante blanche tandis qu'il m'amenait des escarpins vertigineux. Une perruque blonde et bouclée vint compléter le tableau.

Le tenancier revint avec une vieille femme très fardée qui avait tout d'une pute de bas étage.

C'est toi la salope que je dois maquiller. Ramène ta frimousse dit-elle en riant

J'étais humilié car des hommes et quelques femmes regardaient la scène en riant à mes dépens. Elle me prit le visage fermement et entreprit de me farder outrageusement. Ma bouche était un gros fruit rouge obscène. Un des mecs dit alors

Je veux voir si le rouge à lèvres est de bonne qualité. Avisant un petit vieux dans le public, il lui lança "viens toi elle va sucer ta limace"

Le vieux n'hésita pas et sortit tout de suite une queue épaisse mais molle .Ouvre ta bouche poufiasse me cria t'il faisant hurler de rire les trois acolyte

Son sexe sentait l'odeur de son pantalon malpropre et de l'urine. Je le suçais néanmoins (ce qui est commode pour ne pas être importuné par les mauvaises odeurs) et sa queue remplit bientôt ma bouche.

-Elle suce bien notre salope dit l'un des trois

-je crois que nous allons nous amuser dit un autre

-nous l'emmènerons au bois

Le vieux éjacula un foutre liquide dans ma bouche .Je fis signe que je voulais cracher mais un "tu avales tout salope" m'empêcha de libérer ma bouche de ce liq0uide.

Ma transformation était terminée et je compris avec effroi que j'allais devoir marcher dans la rue

Je sortis dans un état second peu à l'aise sur mes talons vertigineux

Des quolibets fusèrent de la nuit désormais tombée. "Vise la salope" Les trois complices m'emmenèrent non loin du sex-shop au ciné sex atlas .Nous payâmes puis montèrent dans une des salles. D'autres travesties hantaient les lieux. Des arabes des vieux miteux de beaux blacks et de moins beaux  formaient une cour des miracles du sexe...Des mains me frôlaient me tripotaient.

A un moment un vieil arabe avec une queue énorme m'attira vers lui. Je résistai mais l'un des hommes me dit mollement

-laisse toi faire salope

L'homme trop heureux cracha dans ses doigts pour lubrifier mon trou du cul. Je dus m'asseoir sur l'imposant braquemart qui bientôt^t cracha son jus entre mes jambes. Mon chemin fut alors un chemin de croix car je dus m'empaler sur toutes les queues exhibées. Je sentais un liquide épais couler le long de mes bas.

Nous descendîmes à coté des latrines malodorantes et l'un des hommes me présenta ainsi

-voilà la nouvelle dame pipi qui éponge toutes les bites

Je dus alors prendre ne bouche des bites nombreuses que les propriétaires prenaient un malin plaisir à laisser bien mouillées d'urine.

Cette activité lassa mes compagnons qui me conduisirent dans une pièce noire où de nombreuses mains s'emparèrent de moi me traînant au sol. Je sentis que ma bouche devait sucer ou lécher tout ce qui se présentait malgré la malpropreté de certains organes. Je crus vomir. Mon cul n'était pas épargné et luisit de foutre. Je sentis que l'on me compissait que l'on se branlait sur moi... Ma tenue était déplorable je ne ressemblais plus à rien.

Mes compagnons m'humilièrent encore en me faisant retraverser le quartier jusqu'à un hammam où je fus pris en main, nettoyé jusque dans mes replis intimes par un colosse qui en profita pour me sodomiser.

Nu comme un ver je fus conduit dans une salle où une trentaine de travailleurs immigrés faisaient la queue après avoir remis dix euros à l'un des trois hommes.

Je dus me mettre à quatre pattes et recevoir le tribut d'une vingtaine de bites qui glissaient les unes après les autres dans mon antre gluant. Une femme vint alors avec une bassine et m'obligea à faire couler tout le jus qui était en moi dans le réceptacle.

Elle la posa alors par terre

-Lape chienne m'ordonna un des hommes. Je frissonnais de dégoût mais une claque féroce sur mon postérieur me rappela ma pauvre condition.

Tiens puisque tu te crois de la haute je vais arroser cette liqueur au champagne

-bois maintenant salope et ne fais plus de chichi.

Je fus de nouveau pomponné et on me vêtit d'un voile ce qui fit rire la petite assemblée.

Nous sortîmes et retournèrent au petit sex-shop où je fus pomponnée et attifée comme une pute, cuissardes......Le propriétaire me fit le sucer tandis que je devais lécher le cul de sa pute de femme.

- tu peux y aller salope elle n'a pas encore travailler

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Les trois hommes me traînèrent jusqu'à leur voiture. Nous traversâmes paris vers l’ouest. Je vis la station de métro"porte Dauphine" puis l'obscurité des bois nous happa. D'étranges silhouettes s'agitaient au bord de la route. La voiture s'arrêta et un grand transsexuel vêtu d'un miniscule cache sexe qui laissait voir sa virilité  impressionnante, de bas rouges et des escarpins vertigineux m'accueillit ainsi

-c'est elle notre salope de ce soir. Viens là que je t'examine.

-petit clito mais beau cul il aura des amateurs

Elle me conduisit vers un étrange campement dans une tente.

Bientôt des voix se firent entendre et je dus subir les assauts répétés d'hommes plus ou moins sobres. A un moment cinq hommes rentrèrent dans la tente et me jetèrent à terre me pénétrant avec force l'un après l'autre. Ensuite je dus subir les jeux de deux pervers qui me lubrifièrent et me pénétrèrent avec des godes énormes. Ils me traînèrent dehors de la tente et me jetant sur le sol désignèrent l'énorme protubérance qui dépassait de mon cul. Tout le monde riait et je fus de nouveau jeté sur le sol pour être baisé à la chaîne.

Je vis alors que les trois hommes étaient revenus avec un petit animal que je reconnus de suite. C’était un poney ils me forcèrent à m'agenouiller entre les pattes de l'animal pour sucer son membre turgescent

Je ne pouvais le rentrer dans ma bouche et j'imaginais ce qui m'attendait plus tard avec un certain effroi. Ce nouveau des inconnus excités par le spectacle de ma fellation animale m'enculèrent et me remplir de foutre

Je fus retourné et le sexe fut introduit en moi me déchirant. Je dus le subir dans la douleur jusqu'au hennissement ultime.

Ensuite je perdis la notion du temps je dus racoler en pute jusqu'à ce qu'une voiture remplie ne m'entraîne vers un campement où je fus soumise à tous les outrages.

Des vieillards urinèrent dans ma bouche et je dus lécher des culs des chattes de toutes conditions sans mot dire sinon j'étais fessée ou fouettée.

A la fin on me pendit par les bras au dessus d'un plug énorme que ma fatigue me faisait enfourcher de plus en plus.

A mon sexe des poids avaient été accrochés qui me torturaient lentement. Je me sentais sans corps j'avais tout subi.

A la fin mon cul distendu, mon sexe devenu bleu n'intéressèrent plus personne et on me délivra pour me jeter dans un coin du campement où je dus laper une bassine de foutre et d'urine en guise de cadeau d'adieu.

 

Les trois hommes me récupérèrent et me rendant mes habits me dirent amusés tu es une bonne gagneuse nous nous sommes faits un max de fric. Reviens quand tu veux.

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Le voyage de retour se passa à dormir .j'avais d'atroces douleurs et je n'aspirais plus qu'à retrouver le refuge de ma maison. Je ferai désormais attention aux annonces de vivastreet.

Une d'elle libellée ainsi" dominatrice black cherche soumis pour le servir dans un petit village de la drome" me paraissait désormais bien menaçante" et je me garderai bien d'y répondre!!!!