Maîtresse.

En ce dimanche soir, j’ai pris l’excuse d’aller voir le match dans un café pour pouvoir aller faire ma chienne avec deux hommes de Sommières. Dans la voiture j’avais préparé mes petites affaires de salope. Une mini jupe kilt, un petit haut moulant, un ensemble soutien-gorge et string noir et rouge, des bas rayés rouge et noir et mes talons noirs. J’ai pris des photos dans une cour avant de les rejoindre. Votre Justinéa aime ces moments ou elle devient femelle. La boule qui se forme dans ma gorge est de plus en plus envoûtante, je sais très bien que je prend de plus en plus de risque, et plus je frôle mes limites plus j’éprouve la nécessité de les dépasser. Il est des moments où je m’empreigne tellement de cette femelle qui couve en moi que si vous m’informiez que vous avez la solution pour me transformer en femme je vous dirais oui maîtresse. D’où me vient cette âme de soumise, cet esprit femelle, le mystère est une partie de moi. Homme le jour, salope ou lope soumise quand l’ombre pointe.

Je ne sais si vous le comprendrez mais je ne conçois dorénavant ma condition de soumis qu’en m’abreuvant de la femme qui vit en moi, est-ce normal maîtresse ? Une passerelle innée s’est construite, je la franchie allégrement chaussée de mes talons hauts.

Je pense que l’esprit féminin est le plus à même de saisir toutes les subtilités, toutes les beautés de la soumission. Un pur mâle ne pourra jamais en découvrir les merveilles.

Je me suis changée sur un parking, et j’ai terminé mon parcours en femme. J’ai entendu claquer mes talons sur le trottoir sur les quelques mètres me séparant de la porte d’entrée. Ralentissant mon pas j’ai savouré ce moment de pure exhibition, voyant au loin les voitures circuler, les gens promener. J’ai coiffé ma perruque avant de sonner, et j’ai attendu que la porte s’ouvre en reculant à mi trottoir, aucune pudeur, juste l’envie de me prouver que je pouvais me montrer si le hasard le voulait.

Quelques secondes de vrai plaisir intérieur.

Humiliation j’aime ce mot, je voudrais l’épeler dans toutes les langues, il me fait un effet tonitruant, sa délivrance à forte dose est plus jouissive que les souffrances physiques. Je suis cérébrale dame Naomie, mon esprit se promène dans des contrées où l’imagination devient réalité. Je n’ai plus besoin de me convaincre, juste la certitude du bien souffrant de me laisser aller. Le regard des autres, leurs gestes, paroles tout est synonyme de plaisirs immoraux, je trouve cela dangereux car ces humiliations, cette perversion mentale qui est mienne influe directement sur mes actes et transforme ma chair, mon corps en un tableau noir où je laisse l’autre écrire, vivre ses envies, ses fantasmes. Je vibre sous le bruit strident de la craie, je bois les virgules et points de suspension. Rien ne s’efface, les moments de vie arrachés aux autres se mêlent en moi pour former douce litanie. Je me nourries de ces vives, m’abreuve aux flaques que l’on me laisse laper. Rien n’est trop pire pour moi, l’excellence est noire et baveuse, elle suinte comme une sueur fétide où je me vautre.

Je serai à jamais votre débitrice car vous m’avez donné la plus belle des chose, apprendre à me connaître, à m’assumer. Grâce à vous je peux vivre mes pulsions qui ne me sont plus inconnues.

Je reviens à ce trottoir cette porte qui s’ouvre, Richard me scrute avec vice et envie, je sens presque son sexe se tendre, j’entre en le frôlant tout en ne pouvant quitter son regard, son sourire satisfait. Je frissonne en cette soirée étouffante, avec l’aplomb de ceux qui savent qu’ils n’auront rien à demander il me conduit dans le couloir la main posée sur mes fesses. Hum le bruit de mes talons sur le pavé, ses quelques mots de mâle si satisfait de lui-même. Dans le salon l’autre, lui un inconnu, première vision de dos. Au moment ou il se tourne vers moi, je ressens une vraie piqûre c’est un dénommé Abder, une petite racaille de ma localité, je le connais un peu et donc lui aussi. Je suis coincée, j’ai sans trop m’en rendre compte franchie une nouvelle limite. J’avais toujours pris garde à me donner à des inconnus ou à des êtres ayant une vie privée à protéger, là je m’expose à une nouvelle facette, être cataloguée comme une chienne de service par un homme qui bien que marié pourra exiger bien plus que les autres. Je me raisonne rapidement, il a beaucoup à perdre, sa réputation de caïd en prendrait un coup.

Justinéa

Il me semble également surpris, on se toise quelques secondes et je crois qu’un accord secret tacite et silencieux est entériné. Mais vous connaissez la maxime « Les promesses n’engagent que ceux qui les croient »

Richard m'a poussé vers Abder, en lui vantant mon caractère de chienne sans limite. Sa main sur mon cul il m'a collé contre l'autre. Coincée entre ses deux mecs, instinctivement j'ai ressentie le besoin de me frotter en cambrant mon cul.

Ma langue s'est très vite mélangée à celle d'Abder, une jambe légèrement repliée derrière la sienne, je sentais son sexe durcir au fur et à mesure que je buvais sa salive. Richard dans mon dos caressait avec force mes cuisses en remontant sur mes fesses. Je vis une vraie sensation d'abandon dans cette situation. Je perçois des frissons des envies toutes féminines. Je me laisse doucement transporter par ses mains sur moi, ses odeurs, la sensation de leurs virilités. Câline je l'embrasse dans le cou pendant que richard baisse la fermeture de ma jupe. Je tends ma croupe au moment ou le morceau de tissus tombe à mes pieds accompagnés des doigts de l'homme. Tout en lapant la langue d' ABDER , je défais les boutons de sa chemise, découvrant un torse musclé et viril, où des poils viennent couvrir les seins et le haut du buste. Je lèche, titille ses tétons, j'écarte mes cuisses pour laisser Richard me masser, m'empoigner le cul, il étire le string dans ma raie. Pour ne pas le frustrer de son plaisir je me penche en avant jambes écartées pour caresser de mes lèvres le ventre de mon arabe. Les deux sont durs je remarque la bosse qui déforme le pantalon de mon mâle; Richard s'est collé à mes fesses et remue sa bite contre m a peau.

Je suis trempe maîtresse, la chatte de votre chienne est un puis tiède et humide, je sais que je vais me laisser à nouveau emporter par les envies, les paroles de mes deux mâles.

Abder m'a obligé en me poussant sur les épaules à m'accroupir, face à sa braguette, je délasse nerveusement sa ceinture, ôte le bouton et dégage dans un même temps caleçon et pantalon. Quelle bite, sombre, nervurée, palpitante. Le gland brille et laisse apparaître une goutte claire et épaisse.

Là je me suis mise à genoux entre ses jambes, et j'ai commencé à prendre sa belle queue en main. Une fois que je tenais bien sa queue, j'ai commencé à lécher le gland juste sur le bout, de la pointe de la langue, ce qui valait à ABDER de pousser de grands soupirs et de me dire que je pompais comme une vraie femelle.
Après un petit léchage du gland en règle, je me suis intéressée à ses deux grosses couilles bien pleines qui ne demandaient qu'à être vidées. Mais en attendant je les prenais en bouche, je les aspirais, les massais avec ma langue. Puis j'ai pris sa queue dans ma bouche, l'enfonçant au maximum, faisant butter le gland dans le fond de ma bouche, en serrant au maximum les lèvres, puis en "mordillant" doucement sa queue et son gland avec mes dents
Je me suis appliquée du mieux possible, me transformant en véritable salope, ce qui faisait râler de bonheur et de plaisir mon homme, Je vous avoue maîtresse que j'avais tendance à oublier RICHARD

ABDER s'est mis derrière moi, a enduit mon petit trou de gel, et m'a préparé en introduisant un doigt, le faisant tourner, entrer et sortir. Puis il a rajouté un deuxième doigt, le tout pour mon plus grand plaisir. Puis, une fois qu'il a pensé que mon petit trou était assez prêt pour accueillir sa queue, il a enduit celle-ci avec du gel, et a fait pointer son gland à l'entrée de mon petit trou. Puis il m'a demandé si j'étais prête à recevoir sa grosse queue qui était tendue au maximum. Je lui ai dit oui, et alors qu'il commençait à pousser sa queue pour la faire entrer entre mes fesses, Il profitait à fond de mon cul, en s'enfonçant jusqu'aux couilles, puis ressortant son gland pour voir mon petit trou qui restait un peu ouvert grâce à sa grosse pine. J'étais complètement excitée, Il continuait ses vas et viens rapides dans mon cul, enfonçant et ressortant pratiquement sa queue à chaque fois. Et quand il a senti mon cul se contracter de plus en plus rapidement il a continué à me pilonner le cul, mais en plus en me donnant des claques sur les fesses qui je le sentais devenaient de plus en plus rouges.
Richard avait assailli ma gueule de chienne de sa bite, à chaque coup de bite d ABDER la bite venait s'enfoncer au fond de ma gorge faisant naître des spasmes, empalée, les reins brisés par les deux mains puissantes qui m'enserraient, je remuais sur cette bite qui m'ouvrait, n'explosait le cul, la chatte. Je branlais la bite de richard en lui avalant les bourses, ma langue jouait avec ses boules, mon doigt lui caressait l anus. Je sentais battre son coeur à travers les larges veines. Abder s'est littéralement laissé tomber sur mon cul, les couilles collées à mes fesses, il gémissait en appuyant de tout son poids sur mes reins, je sentais son gland forcer le fond de mon anus. J'ai eu l'impression maîtresse qu'il allait me casser réellement en deux. Richard lui prenant exemple sur Abder s'est enfoncé en entier dans ma bouche sa queue dure a éclaté mes joues. Il ne donnait que de légers mouvement de reins, me giflant à plusieurs reprises imitant en cela encore Abder qui me défonçait le cul en me frappant du plat des mains à toutes volées. Empalée des deux côtés je vivais cette situation avec un plaisir sale et sans retenue. J'ai perçu le moment ou les mâles ont senti poindre la jouissance en hurlant ils se sont vidés sur mon corps. Visage, dos, fesses, cuisses je dégoulinais de foutre. Le corps en feu, meurtri je me suis laissée choir sur le côté, regardant mes deux mâles qui reprenaient leurs esprits.

Richard a accepté de me laisser prendre une douche et lorsque j'en suis sorti, ils discutaient tous les deux. Je me suis approchée; Abder m'a annoncé que j'étais une sacrée pétasse et que j'allais devenir son vide couilles. En partant revêtu en femelle j'ai roulé une pelle aux deux et à sentir leurs langues dans ma bouche je savais que je n'avais qu'une envie tout accepter.

Voilà maîtresse votre chienne se libère de bien des entraves grâce à vous.

Justinea

Par Naomi alias Lady Dark - Publié dans : JOURNAL SEXUEL BDSM
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