Comment accompagner sa femme sur le chemin de la soumission

Réponse aux mails de certains hommes qui souhaitent soumettre mesdames sur leurs demandes explicites !

La soumission n'est jamais une passade, un caprice. Tout comme les couples échangistes il convient d'être totalement certain de cette envie partagée. Soumettre une femme est à mon avis bien plus difficile mais tellement plus intellectuellement excitant.

L'homme doit dans un premier temps omettre de s'imposer comme le mâle. Cette relation si dentelée est fragile comme du papier de soie. Si cet homme veut dominer sa femme il va devoir maîtriser, dompter dans un premier temps l'esprit de son épouse. Bien plus cérébrale que les hommes les femmes accepteront avec ennuis les châtiments corporels s'ils ne sont pas contenus dans une réalité mentale.
Je conseille à cet homme d'imposer son esprit.

Il devrait commencer par des petits jeux tenter non pas de briser mais faire plier le mental de son épouse. Cela peut s'imaginer par le port de tenues qu'elle trouvait vulgaire, par l'obligation de postures équivoques venant aiguiser son esprit (s’asseoir cul nu sur les chaises, dans le siège de la voiture etc.). Il serait intéressant qu'il l'amène à ressentir une véritable honte en lui demandant de lui raconter un fantasme très chaud par téléphone dès lors qu'elle se trouverait entourée d'inconnus.

Si l'homme est agile de son esprit il doit devenir le phare pervers de sa soumise. Elle doit être aveuglée par sa propre envie et l'offrir à celui qui sait la guider.
Pas de lieu commun au début (baise avec un autre homme, obligation de se comporter en pute etc.)
L'homme pourra commencer de légères brimades physiques, fessées à mains nues (obligatoire pas d'ustensile au début pour que la soumise sente le contact de la chair), léger ligotage des seins sur de courtes durées (5 à 10 minutes).
Il peut également lui imposer sur trente minutes par jour une position de totale soumission (a genoux les ex baissés, prosternée, à genoux sur une chaise).

La seule vérité  repose sur la confiance, sur le chemin que l'on parcourt ensemble en communion et non pour faire simplement plaisir à l'autre.